Publié le 21 novembre 2025
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Mis à jour le 21 novembre 2025
le 12 décembre 2025
Campus Berges du Rhône
15h00
Salle Léonie Villard, BDR
Salle Léonie Villard, BDR
Titre des travaux : La figure de la Mater dolorosa dans cinq récits contemporains (1962-2010): entre deuil et résistance
ABLA BENKHODJA présentera ses travaux en soutenance le vendredi 12 décembre 2025 à 15h00 à l'adresse suivante:
Université Lumière Lyon 2 - Campus Berges du Rhône - Palais Hirsch, 4 Bis rue de l'Université, 69007 LYON (Salle Léonie Villard)
La soutenance sera publique.
École doctorale : Lettres mention Littérature générale et comparée
Directeur de thèse: M. François GÉAL
Membres du jury
Cette thèse s’intéresse à la figure de la mater dolorosa dans cinq récits contemporains : Les enfants du nouveau monded’Assia Djebar (1962), Retour à Haïfa de Ghassan Kanafani (1969), Les Cercueils de zinc de Svetlana Alexievitch (1989), Luzou le temps sauvage d’Elsa Osorio (1998) et Puisque mon coeur est mort de Maïssa Bey (2010). Ces auteurs ont en communun engagement sociopolitique marqué et la volonté de dénoncer les injustices qui ont touché leur pays d’origine au cours dela seconde moitié du XXe siècle. Leurs oeuvres mettent en lumière la figure maternelle confrontée à la perte de l’enfant,figure que nous rapprochons de la Vierge Marie, révélant ainsi son caractère universel au-delà des contextes historiques etculturels propres à chacun. L’objectif de cette recherche est de montrer, d’une part, la portée universelle de cette figure et,d’autre part, sa dimension symbolique. Nous avons ainsi étudié son rôle allégorique dans les cinq récits, en analysantcomment, à travers elle, les écrivains parviennent à exprimer les souffrances de leurs terres natales. La mater dolorosa yapparait à la fois comme porte-parole et comme témoin des tragédies collectives, incarnant la mémoire d’années marquéespar le chaos et la violence.
ABLA BENKHODJA présentera ses travaux en soutenance le vendredi 12 décembre 2025 à 15h00 à l'adresse suivante:
Université Lumière Lyon 2 - Campus Berges du Rhône - Palais Hirsch, 4 Bis rue de l'Université, 69007 LYON (Salle Léonie Villard)
La soutenance sera publique.
École doctorale : Lettres mention Littérature générale et comparée
Directeur de thèse: M. François GÉAL
Membres du jury
- M. François GÉAL, Université Lumière Lyon 2
- M. Nabil BOUDRAA, Oregon State University
- Mme Sabrina FATMI, Université Alger 2
- Mme Tatiana VICTOROFF, Université de Strasbourg
- Mme Martine BOYER-WEINMANN, Université Lumière Lyon 2
Cette thèse s’intéresse à la figure de la mater dolorosa dans cinq récits contemporains : Les enfants du nouveau monded’Assia Djebar (1962), Retour à Haïfa de Ghassan Kanafani (1969), Les Cercueils de zinc de Svetlana Alexievitch (1989), Luzou le temps sauvage d’Elsa Osorio (1998) et Puisque mon coeur est mort de Maïssa Bey (2010). Ces auteurs ont en communun engagement sociopolitique marqué et la volonté de dénoncer les injustices qui ont touché leur pays d’origine au cours dela seconde moitié du XXe siècle. Leurs oeuvres mettent en lumière la figure maternelle confrontée à la perte de l’enfant,figure que nous rapprochons de la Vierge Marie, révélant ainsi son caractère universel au-delà des contextes historiques etculturels propres à chacun. L’objectif de cette recherche est de montrer, d’une part, la portée universelle de cette figure et,d’autre part, sa dimension symbolique. Nous avons ainsi étudié son rôle allégorique dans les cinq récits, en analysantcomment, à travers elle, les écrivains parviennent à exprimer les souffrances de leurs terres natales. La mater dolorosa yapparait à la fois comme porte-parole et comme témoin des tragédies collectives, incarnant la mémoire d’années marquéespar le chaos et la violence.
Informations pratiques
Lieu(x)
Campus Berges du Rhône